2ème partie de notre rencontre avec les dirigeants du CSP Limoges, Wilfried Duchemin, directeur général du club depuis 2007, nous parle de sa fonction et de sa passion.
 Après avoir débuté sa carrière de dirigeant dans le club d’Evreux, Wilfried Duchemin est contacté par F.Forte. C’est sans aucune hésitation et avec une certaine excitation qu’il accepta le poste de directeur général du CSP Limoges. Pour lui c’était un honneur de travailler dans le plus grand club français.
Qu’est ce qu’un directeur général d’un club de basket ?
Tout le monde peut être directeur général d’un club de basket mais tout le monde ne peut pas être un grand directeur général. Ce que nous a montré et dit W. Duchemin pendant notre séjour notamment sur le sport business, le développement vers l’Entertainment, nous laisse à penser qu’il en est un, il fait partie de ses gens qui sont constamment à la recherche de la perfection.
Pour lui : « L’organisation est la clé de la réussite. Il faut gérer à la fois le quotidien, les projets et développements futurs et faire face à tous les imprévus qui surviennent. Un directeur général doit être capable de prendre les devants, d’agir plutôt que de réagir. Cependant s’il s’agit de réagir, il se doit de le faire dans la seconde. Un club de basket doit fonctionner comme une entreprise mais également doit jouer un rôle social important, être très impliqué dans le tissu socio-éducatif local. C’est pour cela que le CSP mène de nombreuses actions  d’intérêt général en direction des personnes handicapées, des scolaires avec les clubs de la région et qu’il est devenu le 1er club éco responsable. »
Aujourd’hui pour que le CSP grandisse encore, il faut la Pro A. Mais sur ce point, le directeur général reconnait que lorsque la rencontre débute le samedi soir, il ne peut plus agir, c’est aux joueurs de faire le job. Lui se doit de les avoir mis dans les meilleures conditions extra sportives possibles « pour qu’ils ne pensent qu’au terrain, au basket ».
Le fait d’être en Pro B, ne l’empêche pas de travailler sur différents sujets avec pour objectif constant de développer le club. Par exemple, Il mène de nombreuses actions pour augmenter l’affluence dans la salle et remplir le stade : « 3 600 spectateurs de moyenne sur 5 500 possibles, c’est bien mais ce n’est pas suffisant, je serai satisfait lorsque je serai obligé de refuser des gens à l’entrée du stade, quand Beaublanc sera plein à craquer et que pour des raisons de sécurité, ces spectateurs ne pourront pas rentrer ».
Qu’est ce qu’un directeur général d’un club de basket ?
Tout le monde peut être directeur général d’un club de basket mais tout le monde ne peut pas être un grand directeur général. Ce que nous a montré et dit W. Duchemin pendant notre séjour notamment sur le sport business, le développement vers l’Entertainment, nous laisse à penser qu’il en est un, il fait partie de ses gens qui sont constamment à la recherche de la perfection.
Pour lui : « L’organisation est la clé de la réussite. Il faut gérer à la fois le quotidien, les projets et développements futurs et faire face à tous les imprévus qui surviennent. Un directeur général doit être capable de prendre les devants, d’agir plutôt que de réagir. Cependant s’il s’agit de réagir, il se doit de le faire dans la seconde. Un club de basket doit fonctionner comme une entreprise mais également doit jouer un rôle social important, être très impliqué dans le tissu socio-éducatif local. C’est pour cela que le CSP mène de nombreuses actions  d’intérêt général en direction des personnes handicapées, des scolaires avec les clubs de la région et qu’il est devenu le 1er club éco responsable. »Aujourd’hui pour que le CSP grandisse encore, il faut la Pro A. Mais sur ce point, le directeur général reconnait que lorsque la rencontre débute le samedi soir, il ne peut plus agir, c’est aux joueurs de faire le job. Lui se doit de les avoir mis dans les meilleures conditions extra sportives possibles « pour qu’ils ne pensent qu’au terrain, au basket ».
Le fait d’être en Pro B, ne l’empêche pas de travailler sur différents sujets avec pour objectif constant de développer le club. Par exemple, Il mène de nombreuses actions pour augmenter l’affluence dans la salle et remplir le stade : « 3 600 spectateurs de moyenne sur 5 500 possibles, c’est bien mais ce n’est pas suffisant, je serai satisfait lorsque je serai obligé de refuser des gens à l’entrée du stade, quand Beaublanc sera plein à craquer et que pour des raisons de sécurité, ces spectateurs ne pourront pas rentrer ».
Redevenir un grand club…
Voilà les objectifs de W.Duchemin et pour y arriver il ne faut pas se contenter « du bien ou du très bien, il faut tendre vers l’excellence. Il faut attacher une grande importance au petit détail, c’est ce qui fait la différence entre un club et un grand club de basket, c’est aux petits détails que l’on reconnait les grandes maisons !»
Quand nous sommes rentrés dans les locaux du CSP, dans son antre, nous avons ressenti la passion qui anime l’entourage du club. W.Duchemin dit : « Ma passion est mon métier et mon métier est ma passion ». Tant que cette philosophie règnera au sein du CSP, le club ne pourra qu’évoluer et retrouver la gloire.
Etre passionné par son métier mais rester humble…
Quand on pose la question à W. Duchemin des risques d’être directeur général d’un club, il nous répond simplement avec son coeur : « On se doit d’être tout le temps disponible 7j/7j, 24h/24 même pendant les congés surtout estivaux (période de négociation avec les joueurs et agents) donc il y a un risque de négliger sa vie privée et oublier sa famille, de faire aussi subir à ses proches la contrariété que peut causer le résultat négatif du week-end ». 
Une phrase pourrait résumer parfaitement l’état d’esprit du directeur général du CSP Limoges : I feel good...
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